Fake influenceurs : la principale crainte des marques lors des campagnes de marketing d’influence. Chez Hivency, grâce à un système avancé de détection les marques ont accès à des statistiques détaillées qui permettent d’identifier les faux profils d’influenceurs. Découvrez-en plus dans cet article. Depuis quelques années, on constate une hausse de la fraude sur les...
Fake influenceurs : la principale crainte des marques lors des campagnes de marketing d’influence. Chez Hivency, grâce à un système avancé de détection les marques ont accès à des statistiques détaillées qui permettent d’identifier les faux profils d’influenceurs. Découvrez-en plus dans cet article.
Depuis quelques années, on constate une hausse de la fraude sur les réseaux sociaux : faux abonnés, faux likes, faux commentaires et faux contenus « sponsorisés ». D’après une étude américaine menée par la société de cybersécurité Cheq et l’Université de Baltimore, ces pratiques frauduleuses provoquent une perte de plus d’un milliard de dollars pour les marques.
À l’ère de la course aux likes, les influenceurs qui ont recours à ce type de pratiques frauduleuses, le font dans le simple but d’être plus « influents » auprès de leur communauté. Lorsqu’on les évoque, on parle désormais de « Fake Influenceurs » et si de nombreuses marques n’ont pas hésité à dépenser des sommes parfois astronomiques pour collaborer avec eux, pour mettre en place des campagnes de marketing d’influence, elles ont aussi perdu une somme colossale d’argent.
Selon le récent rapport de l’entreprise Cheq et de Roberto Cavazos, professeur et économiste à la Business School de l’Université de Baltimore, au moins 15% des dépenses des marques en marketing d’influence sont perdues à cause de la fraude, ce qui leur coûte 1,3 milliard de dollars par an, en 2019. Cette perte ne perturbe pas pour autant les marques car elles sont conscientes que le marketing d’influence est essentiel à leur stratégie pour être plus attrayante et susciter l’intérêt. 94% des marketeurs l’estiment d’ailleurs efficace car 70% des consommateurs sont aujourd’hui influencés par des recommandations. Toujours d’après l’étude, 8,5 milliards de dollars devraient donc être investis par les sociétés pour collaborer avec des influenceurs en 2019 et 10 milliards de dollars en 2020.
HIVENCY : La data au service du marketing d’influence Une coalition lancée par l’industrie de la publicité
Aujourd’hui plus que jamais, la science des données qui sous-tend le marketing influenceur devient la prérogative des spécialistes du marketing. S’il faut d’abord apprendre à détecter les faux influenceurs, il faut aussi s’aider d’outils pour gagner la bataille des fraudeurs. Une solution comme Hivency va permettre aux marques avec l’aide de l’intelligence artificielle et d’un système avancé de détection de fraude, d’identifier des influenceurs pertinents. Grâce à ce système, les marques ont accès à des statistiques détaillées sur l’audience (vrais adeptes, abonnés de masse, adhérents suspects et influenceurs) ainsi que sur le niveau de qualité des influenceurs. Le niveau de qualité de l’audience (AQS) est présenté sous la forme d’une note de 1 à 100, où 100 indique un public très qualitatif.
Les marques peuvent désormais découvrir qui sont les fake influenceurs qui ont acheté des adeptes ou des robots utilisés.
Une coalition lancée par l’industrie de la publicité
Les marques, les influenceurs et les agences ont également décidé de s’allier pour combattre ensemble contre la fraude et ainsi, l’Influencer Marketing Council (IMC) est né. L’IMC a pour objectif d’établir des normes et des meilleures pratiques pour la communauté du marketing d’influence. Cette coalition créée en 2017 a tout d’abord publié une liste des meilleures pratiques ainsi que directives en matière de fraude et organisent plusieurs actions par an telles que des événements et des négociations collectives avec entre autres les influenceurs.
Pour lutter contre la pression sociale, Instagram a la semaine dernière annoncé tester une nouvelle fonctionnalité : la suppression de la mention « j’aime » en Australie, au Canada, en Italie, en Irlande, au Japon, au Brésil et en Nouvelle-Zélande. Pour certains, ce test peut être un obstacle à l’identification des faux comptes et les entreprises doivent par conséquent consacrer plus de temps et de ressources à la vérification des influenceurs avant de les engager.